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 You can't fight the friction (amadeus)

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Message Sujet: You can't fight the friction (amadeus)   You can't fight the friction (amadeus) Icon_minitimeMer 29 Juin - 20:14

You can't fight the friction
Amadeus

Son regard suit les courbes et les lignes du livre qu’elle avait ouvert depuis le début du repas. Ses yeux parcourent les symboles, les lettres et les chiffres alors que l’odeur de chocolat, de gâteau et de croissant parvenaient à son nez. Une autre odeur aussi venait se rajouter à toutes celles-ci. Une odeur de peur. Celle-ci était plus discrète mais là malgré tout. Les regards, les comportements avaient changés depuis l’évènement de la salle des trophées. Quatre pantins pendus, un avertissement. Une explosion. La sonnerie du début d’un règne de terreur ? Un sourire sur ses lèvres simplement. Un sourire discret qui s’effaça rapidement devant l’agitation qui avait soudainement lieux. Elle était restée égale à elle-même, silencieuse, observant simplement les comportements des uns et des autres. Certains s’accusaient, d’autres chuchotaient. Qui étaient à l’origine de ça ? Son regard s’était posé sur Gale, puis Amadeus. Lequel des deux avait-il eut l’idée ? Elle n’aurait su le dire mais elle devait l’avouer, c’était un coup de maître et le début de la peur commençait à se faire sentir parmi les étudiants. On se lorgnait, on se regardait bizarrement, on se chuchotait dans le dos. Et Letha Avery faisait partie de ses étudiants qu’on regardait. Elle n’avait jamais crié sur tous les toits qu’elle était pro-sang-pur. Son nom parlait pour elle cependant et elle se retrouvait donc dans la ligne de mire de certains. Sauf qu’elle était tout simplement trop impeccable pour qu’on puisse lui reprocher quoique ce soit. Elle restait dans son coin, on ne l’entendait pas, semblable à un fantôme qui assistait à la scène sans y participer. Et elle avait observé Amadeus longuement, le regardant apaiser les esprits, jouer son rôle de préfet parfait. Son rôle au sein de l’Alliance était-il feint ou y avait-il réellement une raison pour que le jeune homme se comporte de la sorte avec des impurs. Ca n’était pas la première fois que Letha remarquait son comportement. Aux yeux de beaucoup il passait pour le garçon gentil et serviable. Dans l’ombre il était dans un groupe qui méprisait et détestait la plupart des gens qu’il côtoyait en temps normal. Difficile de le suivre, difficile de se faire un avis sur lui… Difficile de savoir si elle pouvait lui faire confiance. Mais l’idée qu’il se montre si proche des impurs lui faisait froncer le nez. Elle avait comme cette impression que quelque chose n’était pas clair et qu’on l’avait potentiellement arnaquée sur le coup. Pourquoi ses parents lui avaient-il donné un fiancé pareil ? Un fiancé qui, d’autant plus ne semblait aimer personne dans la famille et la confondre avec son jumeau… Elle lève les yeux de son livre et instinctivement, son regard se pose sur le blond qui discute à la table des Gryffondors. Elle l’observe attentivement, pas du tout inquiète qu’elle puisse attirer l’attention. Son regard s’attarda finalement sur les personnes qui l’entourait pour qu’elle dénombre un certain nombre d’impurs. Ses sourcils se froncent mais aucune autre expression ne passe par son visage. Sa main vient alors fermer son livre d’un geste sec et précis. Elle le range dans son sac, se décide à prendre une pomme sur la table et se lève souplement. Traversant la Grande Salle, elle continue d’observer le Gryffondor, passant devant sa table avant de se décider à passer la porte. Il était hors de question qu’elle se dirige vers la bibliothèque pour l’instant. Il y avait trop de monde en cette heure de la journée et le regard de Letha se posa alors sur la porte du hall d’entrée. Il faisait beau. Pourquoi pas ? Elle ne prit pas longtemps avant de se décider à aller dans le parc. Quelques minutes plus tard, elle était posée sur un banc et vint rapidement à rouvrir son livre pour continuer sa lecture. Le temps passa suffisamment pour qu’elle arrive à lire quelques pages lorsque des éclats de voix se firent entendre un peu plus loin. La blonde releva la tête pour voir avec une certaine moue sur le visage qu’il s’agissait encore d’Amadeus. Elle soupire, le regarde de loin de nouveau avant de voir que les personnes qui l’accompagnait s’en allaient. Agacée de part cette interruption, elle finit par se rendre compte qu’il était suffisamment à sa hauteur pour qu’il puisse l’entendre. C’est alors que pour la première fois depuis ce qui semblait une éternité, elle lui adressa la parole : « J’en ai la confirmation maintenant. » Son regard s’arrêta alors sur lui, calme, sereine, froide, avant qu’elle ne reprenne : « Mes parents me détestent suffisamment pour me donner à un traitre à son sang. » Elle lui adressa un sourire d’une politesse froide avant de finalement retourner à sa lecture. Qu’il vienne, qu’il réponde ou qu’il parte ne changeait rien. Elle savait qu’elle venait de l’attaquer ouvertement. Qu’elle déclenche une guerre entre eux ? Concrètement, elle s’en fichait. Elle ne l’aimait déjà pas, lui non plus. Qu’est-ce que ça changerait exactement ? Tu fais un peu preuve de mauvaise foi peut-être ? entendit-elle une voix dans sa tête. Elle fronce un instant les sourcils. Peut-être. Mais il ne faisait aucun effort de son côté pour que les choses s’arrangent. Elle n’avait rien à se reprocher. Alors elle haussa les épaules et repartit paisiblement et calmement dans sa lecture.
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Amadeus H. Windsor
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Message Sujet: Re: You can't fight the friction (amadeus)   You can't fight the friction (amadeus) Icon_minitimeMer 29 Juin - 21:59

Ton regard était à peine masqué, ton intérêt si belliqueux mais d’une agressivité douce et latente. Tout semblait en suspens dans tes gestes et tes regards. Tout semblait si tranchant dans ta gestuelle. Tout était si précis, véritable danse macabre dans ton corps si fin et élancé. Princesse morte, Princesse des glaces, aux yeux si glacés, à la peau de craie et aux paroles écorchées. Regarde-toi, femme Avery, femme confinée à l’ombre de son frère. Regarde à quel point tu souffres, à quel point tu désires le bousculer, prendre sa place. Ton corps hurle la retenue, la douceur et une candeur factice que tu peints sans cesse sur ton visage de porcelaine. Tu n’étais peut-être qu’une enfant capricieuse, une jeune femme ambitieuse, pourtant je n’y ai toujours vu qu’une princesse silencieuse, soucieuse de bien faire, parfaite jusque dans ses regards et ses mouvements. Et pourtant tu te levais de la Grande Salle sans me lâcher des yeux. Tu me fixais d’une manière bien trop intense pour passer inaperçue et pourtant je n’en avais cure. Depuis quand devais-je te prouver que je faisais attention à toi ? Depuis quand devrais-je me contenter d’une fiancée comme toi ? Sous la glace tu étouffais un feu qui pourrait être bien plus captivant, mais tu n’étais là que l’ombre de toi-même. Devrais-je, toi aussi, t’attiser pour mieux te sentir brûler ? Naître dans les ombres pour déployer les ailes de ton ambition ? Avais-tu seulement besoin d’un homme pour te faire exister ? Tant de questions, tant d’interrogations alors que je souriais bêtement, avançant dans le Parc. Je les écoutais à peine lorsque je leur laissais la parole. Ce n’était pas eux que je comptais rejoindre. Il n’était qu’une part infime de ce mensonge que je tissais lentement depuis quelques années déjà. Un équilibre parfait entre l’héritier sang-pur parfait et ce préfet engagé capable d’entendre et de véhiculer la tolérance… Tant de d’écœurant mensonge enrobé de sucre qui glissait de ma bouche de vipère… Je me demandais encore parfois comment j’avais pu rejoindre les rouge et or. Etait-ce cette loyauté profonde que j’avais pour mes convictions et ma famille ? L’ambition n’avait-elle pas fait écho à ceci ? Je me demandais comment était-ce possible… Et si seulement était-ce le signe d’une faiblesse d’âme… Avais-je été assez modelé par ma mère pour m’éloigner des verts et argents ? Eloigner un maximum de soupçon ? La famille était ce qui avait le plus important après notre idéologie. Et toi, ma petite Letha, tu feras parti de cette famille que nous allons bâtir. Un jour, tu dîneras face à moi, aux côtés de ma mère. Un jour, tu devras participer à nos discussions de famille et supporter la vue de leurs Marques… Serais-tu assez digne de tout cela ? Demeurerais-tu simple bécasse qui obéissait sagement à son père ? J’avais besoin d’une femme, d’une alliée, d’une mère. Tant de qualité que je ne saurais percevoir dans cette constance glacée. Mais tu avais pourtant l’élégance et un charme si particulier qu’il en était dérangeant.

Je m’approchais enfin de toi. Dans un autre rôle, sous un autre masque j’aurais probablement pu assouvir mon envie de tabac. Mais pas ici, pas avec toi. « J’en ai la confirmation maintenant. » Mes yeux bleus croisaient enfin les tiens. « Mes parents mes détestent suffisamment pour me donner à un traitre à son sang. » Mon sourire fut immédiat, et je riais silencieusement. Si froide, si hautaine, si mordante. Une chose qui me plaisait mais qui pourtant ne devrais pas m’être destiné. Ma langue glissait sur ma lèvre inférieure, alors que je t’observais faire. M’ignorer. Méprisante idiote. Comme une envie de te faire pâlir la pulpe de mes doigts contre ta mâchoire pour seulement te faire relever la tête. Pour qui te prenais-tu… « Et moi, que tu ne fais vraiment attention qu’à ton petit nombril… » Mon sourire s’agrandissait un peu plus. Je m’approchais et venais attraper ton livre, pour le fermer sèchement. « C’est si rare lorsque tu lèves tes yeux de tes livres… Laisse-moi donc profiter de tes beaux yeux. » Presque moqueur, presque charmeur. A mi-chemin entre la séduction et l’humiliation. Je finissais par me glisser à tes côtés, posant le livre sur le banc. Mon bras libre passait derrière le bas, derrière ton dos. J’étais tourné vers toi, cherchant ton regard, déjà perturbé par ton parfum. « Crois-tu que ce sont dans tes livres que tu sauras comprendre les choix de tes parents ? Ou me connaître ? » Je fronçais à peine les sourcils, observant les traits de ton visage. Je me penchais un peu plus vers toi, intimiste, soufflant au creux de ton oreille : « Si tu ouvrais un peu plus les yeux… Tu aurais déjà tout compris. » Si nous nous étions rapprochés un peu plus. Mais j’ignorais si je pouvais réellement te faire confiance. Pourtant, dans des instants parfaits, des sursauts de ta fierté, il me semblait que tout était possible. Je me redressais à peine, mes doigts effleurant tes mèches blondes perdues dans ton dos.
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Message Sujet: Re: You can't fight the friction (amadeus)   You can't fight the friction (amadeus) Icon_minitimeVen 8 Juil - 14:10

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Amadeus

« Et moi, que tu ne fais vraiment attention qu’à ton petit nombril… » Elle eut envie de lui répondre qu’il n’était pas le seul, mais à cet instant précis, il lui semblait que le silence était de mise. Il n’avait pas terminé sa phrase et elle se doutait bien qu’il allait répondre. Elle l’espérait tout du moins. Ce serait bien dommage qu’on la donne à un mari sans verve, incapable de lui tenir tête. Elle était malgré tout du genre à aimer la confrontation. Quoique, avoir un mari malléable était aussi une bonne chose. L’un dans l’autre ça n’était pas aussi dramatique que cela. Il y aurait probablement moins d’excitation peut-être, une certaine lassitude viendra probablement par la suite. Et elle irait voir ailleurs comme c’était le bon nombre lot de beaucoup de couple sang-pur. Pourquoi pas. Mais la perspective qu’Amadeus possède du répondant était somme toute une évidence pour Letha. Elle avait beau ne pas comprendre ses actions, elle voyait bien comment il agissait et tout n’était que beaux discours et beau langage chez ce garçon. Il lui répondrait avec véhémence, se défendrait comme elle l’espérait. Et il s’approcha, s’asseyant à ses côtés, prenant délicatement son livre de ses mains pour le poser à côté de lui, le plus loin possible pour qu’elle ne puisse pas y accéder. Elle fronce les sourcils. Elle n’aimait pas ce geste, elle n’aimait pas non plus sa nouvelle proximité. Mais il y avait quelque chose de dérangeant dans ce geste. Elle avait cette impression qu’il marquait une sorte d’autorité. Il pouvait faire en sorte qu’elle arrête de lire et soit tout attentive. Presque comme un pantin. Ce qu’elle était loin d’être ceci dit mais ce dont il était loin d’être au courant vu le peu d’intimité qu’ils partageaient malgré les promesses de leurs parents et de cette bague imaginaire et pourtant bien présente. « C’est si rare lorsque tu lèves tes yeux de tes livres… Laisse-moi donc profiter de tes beaux yeux. » Elle se raidit presque automatiquement. D’aussi loin qu’elle s’en souvienne personne n’a eu ou n’a osé avoir une telle proximité avec elle. Personne n’osait parce qu’elle ne se laissait pas faire, aussi parce que son rang mettait bien des barrières. Pourtant, lui, avait tout à fait le droit d’être aussi proche. Il avait le droit de la toucher, de l’embrasser ou encore de la gifler s’il le souhaitait. Il avait le droit de poser sa main comme il le faisait, contre le bois du banc sur lequel elle était prêt de son dos. Il avait aussi parfaitement le droit de s’approcher comme il le faisait et elle, elle ne pouvait rien dire : il était après tout son fiancé et ce droit bien qu’ils n’étaient pas officiellement liés par les liens définitifs du mariage, il l’avait. « Crois-tu que ce sont dans tes livres que tu sauras comprendre les choix de tes parents ? Ou me connaître ? » Elle sourit bien malgré elle, bien malgré aussi cette promiscuité trop importante et gênante entre eux. Elle ne fuyait pas son regard cependant, attendant simplement de voir jusqu’où il irait, attendant aussi de voir comment elle réagirait, presque curieuse de ses propres réactions et sentant donc qu’elle n’était probablement pas à l’aise. Dans une certaine mesure, Letha était intouchable et restait d’une pureté exemplaire. Personne ne la touchait, personne n’osait le faire. Elle en avait presque oublié les contacts des paumes de mains, n’avait jamais connu les bras aimants d’un parent ou d’un frère ou encore la caresse d’un amant. Tout ce qui touchait au contact physique était quelque peu vu comme une intrusion dans sa vie et dans son bien-être. Pourtant, il ne faisait rien de mal. Ils ne faisaient que discuter. Rien de plus, rien de moins. Et cette discussion prenait une tournure intéressante. Le reproche était sous-jacent mais il en oubliait une chose : il n’était pas mieux qu’elle dans le fond. Il ne cherchait pas non plus à la connaitre. Si elle se cachait dans ses livres, lui mettait des remparts d’impurs sur son chemin. Ou des masques peut-être ? Toujours était-il que Letha comprenait plus les décisions de ses parents contrairement à ce qu’il pouvait bien penser. Devait-elle d’ailleurs se justifier ? Ses parents prenaient les décisions pour se débarrasser d’elle certes mais s’ils avaient choisi Amadeus c’était qu’il en valait probablement la peine. Elle n’arrivait cependant pas à voir ce que ce garçon avait de si génial dans sa façon d’être. Et il se rapprochait encore… « Si tu ouvrais un peu plus les yeux… Tu aurais déjà tout compris. » Ca n’avait été qu’un murmure à son oreille. Elle sentait son souffle contre sa joue et un frisson glacé la saisit lorsqu’elle comprit qu’il la testait, s’amusait ou simplement passait le temps avec elle en prenant soin d’essayer de la déstabiliser en étant si près. Elle le laissa pourtant faire, ne se reculant pas, le laissant jouer avec ses mèches blondes, ne sachant toujours pas si elle aimait ce qu’il faisait ou pas. Ce stratagème pour se rapprocher d’elle ne faisait que renforcer sa méfiance. Aux yeux de Letha, il y avait des codes de conduite à avoir selon le degré de la relation. Qu’Amadeus soit son fiancé lui donnait probablement des privilèges, cela n’empêchait pas qu’ils n’étaient pas encore suffisamment intimes pour qu’il se comporte de la sorte. Etant donné que ni l’un ni l’autre n’avait brisé la glace et n’accordait sa confiance à l’autre, il était évident aux yeux de la jeune femme qu’une telle approche était mal vue. Il était aussi évident qu’il n’allait pas la lâcher. « Le choix de mes parents, je le comprends. Les tiens en revanches… » Elle se tut un instant, l’observant de ses yeux glacés, réfléchissant. « Tu sembles être totalement en décalage sur beaucoup de points. Je ne sais pas ce que pense ta famille de tes rapprochements avec les impures, en revanche, ce que je fais c’est que les miens verraient cela d’un très mauvais œil. Quand bien même je ne suis pas vraiment… disons, un élément centrale de la famille Avery. » Sa voix était calme et alors qu’elle arrêta de parler, elle attrapa la main qui touchait ses cheveux blonds doucement pour la remettre sur son genou. « Mais je crains que tu ne sois pas non plus tout blanc Amadeus. Si moi je me cache derrière mes livres, toi non plus tu ne fais strictement rien pour me comprendre. » Elle se décala alors d’un geste souple pour tenter de rétablir un périmètre plus acceptable. Elle savait qu’il allait probablement tenter un rapprochement, le banc n’étant pas infini, elle serait au bout d’un moment coincé. Ne lui resterait plus qu’à se lever ce qui rendrait probablement la situation inégale de part la posture qu’ils pouvaient avoir… Mais il ne pourrait définitivement pas continuer de se montrer aussi proche d’elle. Non, décidément, il faudrait plus de confrontations et une réelle confiance pour qu’il est le droit de cela. Et elle se doutait que ce ne serait pas avant un long moment. « Les torts sont donc partagés, tu ne trouves pas ? » Elle l’interrogea du regard toujours aussi calme et sereine, consciente que par sa phrase si Amadeus était un âne, il se braquerait presque instantanément et reporterait à coup sûr la faute sur elle. Elle espérait cependant qu’il était plus intelligent que cela pour voir qu’elle n’avait pas tout à fait tort dans ce qu’elle pouvait bien dire.
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